LA PAUVRETE AU CONGO RIEN NE CHANGE DE 1997 A NOS JOURS, ÇA
S’EMPIRE
La pauvreté qui touche l’ensemble de Brazzavillois,
Ponténegrins et surtout les congolais de l’intérieur (dans les villages du Nord
au Sud) de la République du Congo, fait, aujourd’hui très peur.
L’Etat congolais, ses gouvernements ne se soucient pas de
savoir comment fait son peuple pour subsister.
La Fondation Louis-Prisque, dans son devoir de lutte contre
la pauvreté est dans l’obligation de tirer la SONNETTE D’ALARME en cette nouvelle
2011 en s’interrogeant pourquoi à nos jours rien n’évolue au Congo? Pourquoi
encore tant de pauvreté au Congo? Tant des enfants démunis laissés à eux-mêmes
dans tous les coins du pays, tant de populations ont du mal a trouvée de la
nourriture, Ont du mal à se soigner. Observant ensemble la vidéo ci-dessous de
l’hôpital de Mouyondzi Alphonse MAKELE, totalement en ruine où nous voyons nos
parents ; Enfants, Amis, sœurs frères, papas et Mamans en train de mourir avec
ses ordonnances sur le ventre, pire encore, par manque des premiers soins des
agents hospitaliers. Tous les hôpitaux du Congo de Pointe-Noire, Ouesso à
Makoua sont en ruine. Les lits des hôpitaux congolais sont usés, bourrés de
rouilles et doter aux malades sans matelas. C’est alarment et inouïe. Le
minimum de médicaments que certains hôpitaux possèdent comme le centre
Hospitalier Universitaire de Brazzaville (CHU) et l’hôpital de TALANGAï sont
revendus aux pauvres malades par des agents hospitaliers de mauvaise foi. C’est
vraiment la jungle dans les hôpitaux du Congo aux sacrifices humains.
Les malades vont à l’hôpital avec leurs usagés matelas (de 5
centimètres d’épaisseur), draps, à midi ou le soir les plus pauvres malades
hospitalisés n’ont pas de quoi à manger et l’hôpital ne leur offre même pas une
assiette de repas de midi. Au Congo c’est l’inverse son peuple va à l’hôpital
pour mourir et non pour recevoir des soins.
Plus de 40% de la population congolaise actuellement dort à
même le sol ou sur un matelas usé, chez eux, depuis 1997, fin de la guerre
opposant les Présidents Pascal LISSOUMBA, Denis SASSOUS NGUESSO et autres. Une
population qui a du mal à acheter un lit. Ceci coute 2 à 4 fois le salaire
minimum congolais. Depuis ce conflit militaire, la majorité des congolais et certains
fonctionnaires de l’état n’ont pas des moyens de se voir offrir un lit décent
pour dormir.
Le peuple congolais au jour d’aujourd’hui à des sévères
difficultés d’envoyer leurs enfants dans les écoles privées car nous le savons
tous que l’école publique n’existe presque plus. Différent des années 1980, nos
enfants suivent les cours à même le sol. Les écoles publiques manquent
cruellement de tables bons et de ses enseignants, qui se dédoublent dans la
même journée a dispensé des cours à la fois dans les écoles publiques presque
inexistantes et les écoles privées en touchant bien-sûr le double minime
salaire qui d’ailleurs n’atteint pas les fins du mois, d’après un Professeur de
Lycée Technique de Brazzaville et une Institutrice de l’école primaire Jean
KIMBANGUI, anciennement, Jean d’Arc.
Malgré que le Congo est assis sur l’immense richesse, malgré
que le Congo est ouvert au monde par l’océan atlantique sur près de 170
kilomètres de bordure. La misère continue à sévir à Brazzaville, à Pointe-Noire
et à l’intérieur du pays et qui rend précaire les conditions de satisfaction
des besoins primaires comme l’eau, l’électricité, le logement et
l’alimentation. La République du Congo aurait pu se développer, par la jeunesse
de sa population symbole du dynamisme, par ses minérales et sa forêt, par sa
position géographique qui fait de lui un pays de transit desservant ainsi tous
les pays limitrophes du nord du Congo à savoir : de la Centrafrique au
Cameroun. Mais !
Mais, où va sa RICHESSE ? Une minorité de plus en plus très
riche, au jour d’aujourd’hui.
La Fondation Louis-Prisque, constate que RIEN NE CHANGE
vis-à-vis de la précarité des congolais et le fossé ne cesse de grandir entre
la minorité très, très riche et la majorité de la population de plus en plus
très, très pauvre d’où 80% vivent à avec moins de 0,50 centimes soit 325f.
CFA/jour. Par conséquent la Fondation Louis-Prisque, dénonce le chiffre de
l’ONU, AFD (Agence Française Développement) que les populations de la
République du Congo et celles de la République Démocratique du Congo, vivent
avec 1.29euros soit 1000 f. CFA. Les peuples de ces deux pays vivent dans une
pauvreté extrême, s’ils pouvaient vivre avec 1.29€/jour, ils seraient heureux
mais ce n’est pas le cas.
Le Président de la Fondation Louis-Prisque, ne cesse de se
demander comment ces peuples et ces enfants abandonnés font pour survivre en
l’absence de toute aide des Dirigeants gouvernementaux ? Nous devons être
persuadé que c’est un miracle venant de Dieu qui fait que ces pauvres peuples
continuent à vivre dans un état totalement démissionnaire, socialement, sanitaire
ment et éducative ment.
RIEN NE CHANGE DE 1997 À NOS JOURS, LA PAUVRETÉ AU CONGO
S’EMPIRE.
La Fondation Louis-Prisque, compare l’ampleur de la précarité
de la population congolaise d’aujourd’hui à celle déjà soulignée hier par un
certain Monsieur Emmanuel, en 1997 en s’appuyant sur trois de ses extraits :
1-DERIVE AU PLAN ECONOMIQUE ET SOCIAL,
2-LA DERIVE AU PLAN SANITAIRE,
3-DE L’EFFONDREMENT DU SYSTEME EDUCATIF,
Tirés de sa lettre ouverte à l’égard du Président de la
République du Congo, sans pouvoir ajouter et ôter un mot, une phrase.
1- « DERIVE AU PLAN ECONOMIQUE ET SOCIAL »
« L’effondrement de
l’autorité de l’Etat et la désorganisation de la force publique ont pour
corollaire la débâcle économique et naufrage social. Pendant cinq ans de
transition, notre pays a été financièrement dépouillé et socialement ruiné. Les
finances publiques, les richesses nationales, les patrimoines immobiliers et
fonciers, etc, ont été honteusement gérés comme on ne l’a jamais vu depuis
l’indépendance de notre pays
Pendant cinq ans la
République a fonctionné à coup de devis fallacieux et de paiements par
anticipation (PPA) sans que l’on tienne compte des règles élémentaires de bonne
gestion des finances publiques et de tenue d’une comptabilité publique digne de
ce nom. Des bureaux et résidences de certains commis de l’Etat étaient devenus
à cette époque-là, des mini Trésors publics où des hommes d’Etat et des hauts
fonctionnaires y allaient percevoir des frais de missions et autres privilèges.
Pendant cinq ans le Trésor Public et la Caisse Congolaise
d’Amortissement ont été transformés en deux abreuvoirs publics où la plupart
des escrocs de la République devenus soi-disant opérateurs économiques, au nom
de la guerre, allaient et venaient, narguant les vrais entrepreneurs qui se comptent
sur le bout des doigts.
La gestion des
finances de la République a ressemblé à un plat de "TIEBU-DJEN" où
chaque invité pouvait se servir selon la grandeur de sa paume.
Dans un pays où le
gouvernement de la République seul pourvoyeur de l’argent peine lui-même pour
payer les salaires des fonctionnaires, pour verser les pensions des retraite ;
dans un pays où le crédit bancaire est limité sinon inexistant, un pays où les
banques sont devenues des simples agences de paiement des salaires des
fonctionnaires et des agents du secteur privé, un pays où l’économie est
paralysée, comment donc expliquer le rythme soutenu de constructions des
somptueuses résidences privées tant à Pointe-Noire qu’à Brazzaville voire à
l’intérieur du pays ; comment expliquer le rythme effréné d’acquisition de
nouvelles voitures de luxe de toutes marques confondues par une poignée de
privilégiés ?
L’Etat lui-même, en
violation flagrant des textes qui réglementent le renouvellement du parc
roulant des administrations publiques et para publiques, a battu le record
d’achat des voitures en cinq ans de transition. Certaines de ces voitures
flambant neuf ont été, soit prématurément accidentées par des chauffards, soit
purement et simplement maquillées et soustraites du patrimoine de l’Etat à la
fin de la transition. C’est un gâchis qui dépasse de loin l’ensemble du parc
automobile importé tout au long du plan quinquennal 1982-1986 où notre pays a
connu un réel essor aux plans économique et social.
Que dire du patrimoine
immobilier et foncier de l’Etat et toutes les entreprises publiques en
liquidation ou en cours de privatisation ?
Que dire précisément
des patrimoines immobiliers et fonciers de l’Office National des Postes et
Télécommunications (ONPT), d’HYDRO-CONGO, de l’Office Congolais de l’Entretien
Routier (OCER), de la MAB et de l’UCB scandaleusement bradés et pris d’assaut
par les initiés du système à la suite de leur privatisation ou liquidation, et
demain l’ATC, la SNE, la SNDE etc… subiront à coup sûr le même sort. Pendant ce
temps, l’Etat lui-même est malheureusement obligé d’héberger dans des hôtels
particuliers des Ministres, des hauts dignitaires et hôtes de marque.
Je mets au défi le
parlement de commettre une enquête parlementaire sur la braderie du patrimoine
immobilier et foncier de toutes ces sociétés liquidées ou privatisées.
Pendant les cinq ans
de transition, la corruption et l’affairisme, deux maux dénoncés régulièrement
par vous-même dans vos discours, ont pris des proportions inimaginables. Tous
les corps d’Etat ont été gagnés par ce fléau visible et invisible sans
qu’aucune disposition effective ne soit prise par le gouvernement de la
République pour tenter réellement de l’enrayer.
Sous votre premier
mandat à la magistrature suprême, au lendemain du 5 février 1979, vous auriez
réagi immédiatement et fermement.
Aujourd’hui, la
sanction contre tous ceux qui commettent des actes délictueux dans
l’administration consiste à relever un fonctionnement d’un poste pour
l’affecter à un autre qui peut lui offrir quelque fois plus d’avantages que le
premier
Ainsi, on prend les
mêmes et on recommence dans un pourrissement total sans perspectives de
solutions.
Le pays est comme
livré aux vautours, et à une meute de chacals qui ne quitteront jamais le lieu
du festin tant qu’ils n’auront pas fini d’avaler le dernier morceau du gibier
constitué ici par le patrimoine de l’Etat et les richesses nationales. Ici
encore, le peuple est surpris par votre manque de réaction.
Dans les Constitutions
d’avant et d’après-guerre du 12 mars 1992 et du 20 janvier 2002, la déclaration
du patrimoine est rendue obligatoire pour tout citoyen congolais qui accède à
une fonction d’Etat. Or curieusement, que ce soit sous la législature du
Président Pascal LISSOUBA, en passant par la transition de 1997, au début de
votre septennat, aucun de ceux qui ont accédé aux responsabilités d’Etat n’a
fourni sa déclaration de patrimoine. Et je suis convaincu que le premier
septennat va se terminer sans que personne n’ait déposé sa déclaration de
patrimoine. Ainsi l’accumulation illicite des biens sociaux peut se poursuivre
en toute liberté.
Monsieur le Président,
Si au niveau de la
Caisse de Retraite des Fonctionnaires, il y a tant soit peu une amélioration
des conditions et du rythme de paiement des pensions, au niveau de la Caisse
Nationale de Sécurité Sociale, c’est un calvaire que vivent nos retraités. La
plupart d’entre eux quittent les quartiers périphériques de Brazzaville,
parcourant des kilomètres à pied dans l’espoir toujours déçu de percevoir une
pension dérisoire de quinze à quarante mille francs CFA. Il est inacceptable
que la dépréciation des pensions de retraites à la CNSS ne soit supportée que
par les usagers sous l’indifférence totale de l’Etat, pourtant garant de la
solidarité nationale. Pire, entre deux pensions que l’on touche
hypothétiquement, il se passe quelquefois trois à quatre trimestre de silence,
voire plus sans que l’Etat se soucie de savoir comment font les retraités pour
subsister.
La gestion financière
et sociale de la CNSS mérite du gouvernement et de votre part, une attention
toute particulière.
Le chômage et le
désœuvrement des jeunes qui font l’objet de tant de discours mais jamais d’une
tentative concrète de recherche de solutions, risquent d’imploser de la façon
la plus imprévue dans un pays où personne n’ignore que certains jeunes chômeurs
ou désœuvrés savent manier les armes.
La misère qui sévit à
Brazzaville, à Pointe-Noire et à l’intérieur du pays et qui rend aléatoire et
précaire les conditions de satisfaction des besoins primaires comme l’eau,
l’électricité, le logement et l’alimentation, risque à la longue de menacer sérieusement
la paix sociale dans notre pays si au niveau du gouvernement des dispositions
ne sont pas prises. »
2-« LA DERIVE AU PLAN SANITAIRE »
« Notre C.H.U. qui
regorge d’éminents professeurs de médecins et de brillants spécialistes n’a
plus de réputation que son nom. On est a se demander si pendant les cinq ans de
transition, il y a été mis un seul sou. Tous les ascenseurs sont en panne et
l’on imagine assurément le calvaire des malades qui vont en consultation aux
différents étages, surtout lorsqu’il s’agit des personnes âgées. Le transport
des malades à dos est devenu une pratique courante. Je dois ici féliciter le
nouveau directeur du C.H.U. qui, en l’espace de quelques mois, a pu réhabiliter
quelques deux ou trois ascenseurs.
Depuis plus de dix ans
les malades hospitalisés dans toutes nos formations sanitaires n’ont plus reçu
gratuitement ni aspirine, ni nivaquine. Les malades devant subir une
intervention chirurgicale doivent tout acheter eux-mêmes, de la compresse à
l’alcool à 90°.
Le service des
urgences de cette institution médicale n’a de positif que la présence du
personnel. Les médecins de garde n’ont plus que la foi de leur serment, leur
blouse blanche et quelques rares appareils.
Entre la consultation,
la délivrance de l’ordonnance, le temps pour les parents de courir chercher les
médicaments en pharmacie, encore faut-il avoir de l’argent, les malades qui y
sont évacués ont tout le temps de trépasser. Il n’y a actuellement aucun produit
pour les premiers soins.
Aujourd’hui, face à la
dégradation du système de santé publique dans notre pays, à la pauvreté et à la
précarité généralisée, une écrasante majorité de congolais n’a plus accès au
minimum de soins de santé, et certaines catégories au bas de l’échelle sont
contraintes de recourir à la pharmacie ambulante dans la rue avec tous les
dangers que cela comporte. »
3-«DE L’EFFONDREMENT DU SYSTEME EDUCATIF »
« Que dire de ces cinq
ans de transition au cours desquels, on n’a enregistré aucun changement notable
pour notre système éducatif au bord du chaos ? Quelques milliards ont été
décaissés d’octobre 1997 à août 2002 dans ce système, mais pour quels résultats
?
En réalité notre
Université qui était l’une des meilleures d’Afrique Noire est aujourd’hui en
queue de peloton. Voici bientôt six ans que personne ne sait plus quand
commence et quand se termine une année académique. C’est à peine si chaque
Faculté ou Institut ne s’est pas élaboré son propre calendrier annuel.
L’école primaire et
secondaire est devenue un lieu où les parents d’adonnent à une corruption bien
organisée, faisant des études une simple formalité, étant donné d’ailleurs que
le bas niveau de tout le système n’inquiète pas l’Etat qui, demain, pour
recruter dans la fonction publique ou accorder des bourses pour l’université,
n’appliquera aucune sélection sur des critères objectifs.
La situation la plus
paradoxale, celle connue par tous les gouvernements qui se succèdent au Congo,
est celle de nos enfants assis, dans certaines écoles, à même le sol, alors que
notre pays est producteur de bois. De nombreux enseignants, déçus par leurs
conditions de travail, se battent pour obtenir leur affectation ou leur
détachement vers d’autres administrations offrant de meilleurs avantages (cas
des régies financières).
Quelquefois confinée
dans des structures inadéquates, l’école privée qui devait normalement relever
de la compétition face à l’école publique a, de son côté, versé dans la
facilité en recrutant son personnel parmi les diplômés sans emploi n’ayant
aucune formation pédagogique. On imagine dès lors le niveau et les conditions d’apprentissages
des enseignés.
Monsieur le Président,
Tout cela me donne
l’impression ou plutôt conforte l’idée que vous avez laissé faire, pour des
raisons que ni l’histoire, ni les générations futures ne comprendront jamais,
parce que l’effondrement actuel de l’Etat et de la Nation compromet pour
longtemps l’avenir de nos enfants, de nos petits-enfants et de nos
arrière-petits-enfants.
Ce que les congolais
attendent de vous, ce ne sont ni les discours ni les déclarations de bonnes
intentions, ni la mise en place des commissions, colloques ou séminaires de
réflexion sur ceci ou cela, encore moins l’adoption par le parlement de lois
supplémentaires. »
Les maux étant connus
et amplifiés chaque jour, les congolais attendent de vous-même et de votre
gouvernement des décisions suivies d’actes qui permettent de restaurer l’autorité
de l’Etat, de créer les conditions d’un minimum de justice sociale et d’arrêter
l’impunité. Votre longue expérience à la tête de notre pays et votre
connaissance des problèmes et des hommes vous donne une forte capacité de
discernement entre ce qui est mauvais et ce qui est bon pour ce Congo meurtri.
Notre pays, plongé dans une crise profonde, multiforme et
complexe, a besoin d’un véritable sursaut national. Votre légitimé de sept ans
à la tête de notre pays, vous donne les moyens de créer les conditions de ce
sursaut. Vouloir, c’est pouvoir, c’est pourquoi je suis persuadé que si vous le
voulez, vous pouvez créer les conditions d’un véritable sursaut national nécessaire
pour sauver le Congo.
En conclusion, je
crois avoir attiré votre attention, Monsieur le Président, sur quelques faits
devenus très banals au Congo, mais considérés comme très graves ailleurs où le
sens de l’Etat est une réalité
La dureté de mon
message devrait être prise ici non pas comme de l’aigreur, mais comme un
désarroi et un cri de cœur, car votre réussite serait bénéfique pour le peuple
congolais et vous ferait entrer positivement dans l’histoire de notre pays. »
« Je vous prie
d’agréer, Monsieur le Président, l’expression de ma très haute considération. »
C’est par cette somme de manque de conscience gouvernementale
qui fait du Congo aujourd’hui un pays ou le taux d’alphabétisation a baissé,
l’illettrisme a repris de la place, la couverture sanitaire presque nulle, le
salaire non assurée, le chômage endémique. C’est ce qui fait que le Congo
possède une forte proportion de personnes 80 à 85% qui vivent dans l’extrême,
pauvreté.
Bref, la Fondation Louis-Prisque consciente du développement
du Congo, se lance pour la réhabilitation du pays par la prise en compte des
enfants abandonnés ; Enfants de rue, Orphelins démunis en les donnant enfin un
toit d’où l’appel aux dons 2011.
la Fondation Louis-Prisque, vous informe de la conjoncture,
la situation actuelle au Congo et sollicite le concours des Organismes, les
Etats et les personnes sensibles afin d’apporter tant soit court des remèdes,
des solutions à nos enfants et nos parents démunis en quête de soutien à la
fois alimentaire, matériel aussi psychologique afin que vive l’amour, la
solidarité entre les humains.
La FONDATION Louis-Prisque